-
chapitre 12
Quand à moi, j'étais assis dans un coin de ma cabine replié sur moi même depuis plus de 2 heures. Soudain l'hologramme du père de Nathacha apparu à mes côtés
-l'hologramme : qu'est ce qu'il t'arrive Stellie ?
-Stellie : j'ai pas arrêté de me tracassé pour savoir qui elle était et là elle me retrouve et ne demande pas à me voir...pourquoi ?
-l'hologramme : là et la question, je me le demande aussi
-Stellie : suis-je un fardeau pour elle? Quand nos regard se sont croisés je n'es vu aucune joie de me retrouver...
Des larmes monta et coula le long de mon visage, j'avais qu'une envie c'est que l'on vienne me sauver de ce gouffre où je m'enfoncer.
-Stellya : je comprend ce que tu ressens
Je fixais le sol, la tête dans les mains
-Stellie : elle étais vivante durant toutes ces années et n'a pas donné une seule fois signe de vie, même pas une lettre, ou mettre une simple visite comme Albator non...rien...
-Stellya : j'ai vu que son regard exprimé une très grande tristesse avec un mélange de solitude
-Stellie : alors pourquoi n'est-elle pas descendu de son vaisseau pour me voir, me parler ou même me prendre dans ces bras...j'ai pas connu ce qu'on appelle l'amour maternelle. J'ai été livré à moi même le jour où j'ai poser les pieds dans cette orphelinat
-Stellya : je ne s'est pas Stellie
Je me leva, sorti de ma cabine. Il fallait que je sorte de ma cabine avant de devenir folle. Je déambulais dans le vaisseau j'avais l'impression de devenir folle, tellement de question dans ma tête. Je dois aller la voir, j'allais alors voir mon capitaine afin d'avoir la permission de sortir
-Stellie : capitaine, j'aimerais aller régler les choses avec ma mère. Si je peut l'appeler ainsi ...
Cette dernière phrase avait été qu'un murmure
-Nathacha : tu as carte blanche Stellie mais promet moi de faire attention sur le chemin
-Stellie : merci et c'est promis capitaine
Je parti alors dans le hangar où mon chasseur était rangé, je monta à bord et parti parler à la personne qui était soit disant ma mère.Une fois devant celui-ci, le sas du vaisseau de ma mère s'ouvrit. Je ne pris pas la peine de prendre les escaliers de mon chasseur, je sauta de celui-ci et atterri debout sur le sol. J'arrive aux poste de commande, je balaya la salle d'un regard dur et froid et ma mère arriva derrière moi. Je me retourna afin de lui faire face, je pus voir son regard triste avec un mélange de solitude mais également avec une pointe de froidure. Je ne recula pas et garda mon regard dur et froid
-Stellie : comme tu doit t'en douter je ne suis pas venu pour des retrouvailles chaleureuses, mais pour avoir des réponses à mes questions qui me hante depuis temps d'années
-emeraldas : pose tes questions Stellie
-Stellie : déjà j'aimerais savoir pourquoi tu n'a pas demander à me voir tout à l'heure quand tu nous a croisé ?
-emeraldas : cela me regarde
Je serra les poings
-stellie : je suis donc un fardeau pour toi, quelqu'un qu'on préfère oublier ?
Je haussa légèrement la voix
-emeraldas : je n'est jamais pensé ça de toi Stellie, crois moi
-Stellie : c'est ce que tu laisse sous-entendre
-emeraldas : je vais te dire pourquoi je ne suis pas venu te voir plus tôt, c'est simple je me fait passer pour morte
-Stellie : c'est ça ton excuse...tu aurai pu me glisser une lettre où tu me disais un point de rendez vous ou même trouver une cachette où déposer des lettres chacune notre tour...j'ai grandi sans savoir qui était ma mère, sans savoir si elle penser un minimum à moi et surtout si elle était vivante. J'ai désobéis à albator pour monter dans un vaisseau pour avoir la chance de te retrouver ou même de te connaître un jour...je...
Ma voix se brisa, j'en tremblais tellement la colère était forte...
-emeraldas : je n'est fait que penser à toi, je me suis demandé des millions de fois qu'est ce que tu devenais mais celui qui me prend tout mon esprit c'est ton père
-Stellie : mon père m'a sauvé la vie plusieurs fois étant petite mais et toi ça ne te fais rien de savoir que tu ne m'a pas vu grandir...?
-emeraldas : si bien sûr que si j'aurai aimé te voir grandir Stellie...je suis désolé
-Stellie : je vais pas te mentir, j'ai été malheureuse durant mon enfance les seules moments de bonheur que j'ai connu c'est lors des visites secrètes ou non d'albator...
Je la contourna et parti rejoindre mon chasseur, je monta les marches de celui ci et m'installa. J'entendis que le sas s'ouvre suffisamment pour pourvoir sortir. Et me voilà parti pour retourner sur le Queen Nathacha, je préviens de mon retour, je rentra dans le vaisseau et sorti du chasseur. Je vis Matias arriver vers moi mais je le stoppa avant qu'il me dise quoi que ce soit
-Stellie : c'est pas le moment Matias, je suis pas d'humeur
-Matias : je comprend alors je te laisse tranquille
Je sorti du hangar et me dirigea vers le pont, je vis qu'il y avait personne mi à part Nathacha sur son fauteuil. J'avança jusqu'à elle...les larmes me monta au yeux, je me retenais de pleurer...malgré tout une larme coula le long de mon visage, Nathacha le remarqua et se leva de son siège afin de me prendre dans ses bras.
-Nathacha : il te faudra devenir forte Stellie et ne laisse pas cette affrontement avec ta mère te détruire
-Stellie : je n'ai vu aucune joie dans son regard, elle ne m'a même pas retenu quand je suis parti...pendant tout le long de notre échange elle n'à pas essayer de faire un pas vers moi, nous sommes rester à 1 mètres l'une de l'autre mais je te promet de devenir forte par rapport à elle
Je me blottis un peu plus contre elle pour trouver le réconfort dont j'avais besoin, celui que j'aurai voulu retrouvé envoyant ma mère. Nathacha me serra un peu plus dans ces bras
-Nathacha : tu sais que tu as une très grande famille ici
Je luis souris et rigola malgré les larmes
-Stellie : oui je le sais vous êtes devenu ma famille
-Nathacha : ah ben voilà je préfère te voir rire et sourire plutôt que de pleurer (sourit) aller va rejoindre les autres aux réfectoire un bon repas t'y attend
Je me détacha des bras du capitaine, lui sourit et alla au réfectoire. Une fois arrivé, je m'installe à une table avec quelques membres d'équipage et un super repas fus servis. Je préféra manger en silence et de réfléchir à ce qu'il sait passer sur le Queen Emeraldas
-Galy : à quoi tu pense Stellie ?
-Stellie : à la rencontre avec ma mère il y a quelque minutes
-Matias : moi j'appelle pas ça une mère
-Stellie : pour être honnête avec vous je ne sais pas comment je doit la considérer. Le regard que j'ai croisé sur son vaisseau n'étais pas celle d'une mère, il était froid je ne voyais aucune joie de me revoir quand je me suis retourné, j'ai alors adopté un regard dur et froid. J'ai bien vu que ça l'a perturbé et je peut comprendre ce retrouver face à sa « fille » qui vous ressemble comme deux gouttes d'eau doit être surprenant...
-Matias : je pense aussi
-Stellie : nous étions à 1 mètres l'une de l'autre et elle n'a fait aucun pas vers moi...elle n'a pas essayer de me retenir quand je suis parti rejoindre mon chasseur
Je serra les poings sans m'en rendre compte, je me sentais observé. Je trouva alors la tête et vu que c'était le capitaineDu côté de Nathacha, elle étais assise avec Stellya et d'autres membres de l'équipage
-Stellya : que ce passe-t-il Nathacha ?
-Nathacha : rien je surveille Stellie
-Stellya : pourquoi donc quelque chose ne va pas ?
-Nathacha : vu comment ces poings sont serrés, elle est prête à exploser à n'importe quel moment
-Stellya : tu sais pourquoi elle est comme ça ?
-Nathacha : la visite chez sa mère ne sait pas très bien dérouler, Stellie est une bombe à retardement près à exploser, je souhaite qu'elle n'explose pas qui sait ce dont elle est capable. Elle nous a déjà fait peur une fois en s'enfermant dans sa cabine pendant une semaine sans rien avaler...tu t'en souviens Stellya ?
-Stellya : je vois, oui je m'en souviens très bien on a même eu du mal à la faire sortir de la d'ailleurs
-Nathacha : je ne veux pas que cela se reproduise, j'ai promis à son tuteur de veiller sur elle et de la protéger et c'est bien ce que je compte faireQuand à moi, je décida d'ignorer son regard et continua à manger
-matias : c'est pas digne d'une mère
-une membre de l'équipage : je suis sûr que tu serras pas comme ta mère si un jour tu as des enfants
-Stellie : je lui ressemble comme deux gouttes d'eau physiquement ça suffit...
Je me leva plus brusquement que je ne l'aurai voulu et sorti du réfectoire en laissant mon assiette à moitié pleine
-Matias : elle a l'air abattue, elle n'a même pas fini son assiette. Elle nous a tellement dit qu'elle espère la connaître un jour, elle se fessais dû soucis pour elle et voilà que sa mère lui montre aucun signe d'affection ou de bonheur à la revoir...
-Galy : je haïs sa mère
-Matias : même sa retrouvailles avec son tuteur a été plus chaleureuse que celle-ci... comme si sa mère n'en n'avait rien à faire d'elle...
-Galy : oui tu as raison
-Matias : j'irai bien faire un tour chez sa mère mais je ne pense pas que le capitaine soit d'accord
-la cuisinière : oui tu peux oublier ton idéeQuand à moi j'étais retournée dans la cabine, j'enlève mon uniforme et mis un t-shirt et un short, je décida d'aller prendre une douche qui se termina en bain pour me calmer avec un peu de musique. Quelques heures plus tard, je décida de sortir de mon bain qui était devenu trop froid pour y rester. J'écoutais une de mes musique préféré, lorsque je m'aperçus que j'avais laisser mon uniforme dans ma chambre. Je m'enroule dans une grande serviette et sorti de la salle de bain. Je sursauta quand je vis mon capitaine assise sur ma chaise de bureau
-Stellie : capitaine ! Qu'est ce que tu fais la...?
-Nathacha: je suis désoler Stellie...je voulais pas te dérangé mais tu ne répondais pas lorsque j'ai frappé à ta porte lors je suis rentré pour voir si tout allait bien. J'ai vu la lumière de la salle de bain allumé donc j'ai décidé de t'attendre ici...
-Stellie : d'accord...euh je vais m'habille si tu me le permet et je reviens...
-Nathacha : oui oui bien sûr...
Je pris mon uniforme sur mon lit et parti dans la salle de bain extrêmement gêné. Une fois habiller, je sorti et m'assis sur mon lit. Au début personne ne parlais, gêné de ce qu'il sait passer quelques minutes plus tôt, puis nous nous mettons à parler de tout et de rien pendant un long moment puis le capitaine parti de ma cabine.